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Comprendre ses blocages


« Je suis trop ceci », « je ne suis pas assez cela », « je ne pourrais jamais »

Qui ne sait jamais enfermé dans ces opinions limitantes qui forgent à jamais l’idée que nous sommes bloqués et ne pouvons réussir ?

Paralysie et anxiété sont souvent les conséquences de la peur de l’échec, de devoir réussir constamment.


Nous sommes le fruit de notre histoire personnelle, de l’environnement dans lequel nous avons grandi. Les expériences passées laissent des traces plus ou moins positives suivant notre tempérament de base. Certains seront aidé par un entourage épanouissant quand d’autres cumuleront des échecs. Les blocages reposent très souvent sur la surestimation du danger.

Les croyances sur soi, sur le monde, ces pensées négatives, qui nous paralysent reposent fréquemment sur des schémas cognitifs appris dans l’enfance. A la base on retrouve l’estimation de soi, l’évaluation que l’on fait de soi-même, l’auto-jugement, la confiance en soi et l’affirmation de soi.

Comprendre ses blocages

Et si on changeait d’état d’esprit ?


Carol Dweck, psychologue américaine, a étudié « l'état d’esprit de développement » comme une croyance fondamentale en la possibilité d’évoluer et de s’améliorer grâce à l’effort et au travail.


Elle a identifié 6 axes à cultiver :

  • Le droit à l'erreur

  • Éviter la recherche de perfection

  • Envisager l'échec comme une opportunité d'apprendre de vos expériences, précieuse pour l'avenir

  • Valoriser le processus d'apprentissage et non le résultat.

  • Essayer de relever de petits défis, puis augmenter la difficulté au fil du temps.

  • Accepter ses limites et ses imperfections

  • S’interroger sur le parcours des personnes qui ont réussi et qu’on admire : elles évoquent rarement un talent inné, mais plutôt leurs efforts et leur persévérance, ainsi que d'autres gens qui les ont aidées

Plus cet état d’esprit est mis en place jeune et plus l’individu est en capacité de changer ses croyances. D’où l’importance du rôle joué par les parents et les éducateurs. Cet état d’esprit est la valeur ajoutée des enseignements Freinet et Montessori qui, face à l’échec, incitent l’enfant à réfléchir : « Qu’est ce tu pourrais faire différemment ? comment peux-tu t’améliorer ? ». Féliciter pour les efforts fournis encourage la persévérance.


Accepter ses limites et ses imperfections en intégrant que le résultat d’un projet ne dépend pas toujours que de soi. L’échec est une des étapes naturelles de l’apprentissage. Personne n’a jamais renoncé à l’apprentissage de la marche la première fois qu’il est tombé, et pourtant combien de fois avons-nous chuté et combien de fois nous sommes nous relevés avant de maitriser la marche ?


Au fil des séances de Neuro-Training, on apprend à identifier ses comportements, les émotions associées et à les accepter. Le cerveau découvre qu’il peut réussir malgré une certaine angoisse, qu’il y a d’autres solutions et retrouve la flexibilité cognitive.

Quel que soit l’objectif à atteindre, la stratégie consiste à imaginer tout l’épanouissement et les bienfaits potentiels que nous gagnerons à aller au-delà des premières appréhensions.


Ainsi vous arriverez plus facilement à dépasser vos peurs, libérer votre potentiel en changeant de discours intérieur et en passant par la valorisation de chaque petite victoire comme autant de petits cailloux déposés sur votre chemin

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